J'ai récemment repris le golf. Je n'avais pas fréquenté un terrain de golf pendant quelques mois en raison de petits ennuis. Mais grâce à mes réflexes sportifs, j'ai pu conserver mes sensations d'antan.

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J'ai recommencé le golf et j'ai décidé de me lancer sans forcer, mais quelle surprise ! J'ai beaucoup mieux frappé et j'ai envoyé la balle plus loin que lorsque j'étais en pleine forme ! J'ai été vraiment surpris de réussir un drive de 205 mètres, alors que je n'arrivais pas à dépasser les 200 mètres auparavant.

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La clé du succès, c'était de relâcher ! Avant, j'avais toujours essayé de donner le plus de force possible à la balle pour l'envoyer le plus loin possible. J'ai souvent entendu dire que le golf, c'est une question de relâchement et de mouvement des hanches, alors j'ai décidé de m'y mettre. Et voilà que la balle a commencé à être bien frappée et à partir comme il faut !

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Au travail aussi, c'est souvent en forçant trop que l'on rate ses coups. Si l'on veut tout faire à la perfection, on peut se retrouver rapidement en burnout, et la colère peut surgir à la vue de collègues qui ne se donnent pas autant de mal. Cela peut même créer une tension supplémentaire et nous empêcher de donner le meilleur de nous-mêmes.

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De plus, si l'on se donne beaucoup de mal et que le résultat n'est pas à la hauteur, par exemple si l'on passe des nuits blanches à préparer un dossier et que l'on ne remporte pas le marché, on risque de se sentir stressé et déçu.

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Il serait formidable de pouvoir quantifier la force à exercer ! Mais chacun ressent en lui la force qu'il déploie.

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Lorsque l'on court pendant longtemps, on ressent intuitivement le moment où l'on est en train de forcer. Au travail aussi, si l'on a l'impression de forcer, il est nécessaire de faire une pause. Comme lors d'une course automobile, si l'on pousse la machine trop fort, elle risque de tomber en panne, et l'on doit aller aux stands. N'hésitez pas à vous offrir un moment de repos !